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Channel: Saint-Georges-de-Didonne et le Pays Royannais - environnement
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Dangers imminents

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Jean-Paul Jaud : Dans "Tous cobayes?", le cinéaste accuse OGM et nucléaire d'être tous deux fondés sur le trafic et le mensonge. (photo droits réservés)

Jean-Paul Jaud en couleur.jpg« Sud-Ouest ». Après avoir réalisé quantité de retransmissions sportives pour Canal+, voilà des années que vous dénoncez les « poisons de la terre ». Après les pesticides, votre dernier film est consacré aux OGM et au nucléaire. Pourquoi avoir marié les deux ?

Jean-Paul Jaud. Les deux premiers films dénonçaient cette agriculture, dite conventionnelle, qui devrait être baptisée chimique et mortifère. Je travaillais sur « Tous cobayes ? » en suivantles expérimentations du professeur Séralini, (contredites par des agences nationales, ndlr) lesquelles constituent le fil conducteur du film. J'étais donc attaché aux OGM, ces éponges à pesticides, tolérantes à des quantités astronomiques d'herbicides, d'insecticides et de fongicides. On est là au summum de l'empoisonnement…

J'étais plongé dans ces questions lorsqu'est survenue la catastrophe de Fukushima. Il m'a alors semblé évident de réunir ces deux technologies, OGM et nucléaire. Toutes deux sont fondées sur le trafic et le mensonge, elles génèrent les mêmes pathologies, elles sont là pour des siècles, on ne sait pas les maîtriser, elles mettent les écosystèmes en danger et, s'ils disparaissent, l'homme disparaîtra aussi.

Vous avez bien vu que les conclusions de M. Séralini ont été sérieusement remises en cause…

Mais par qui ? Par de fameux académiciens autoproclamés de l'acabit de Claude Allègre ? Justement, le grand intérêt des travaux de Gilles-Éric Séralini (lire sa tribune dans Le Monde), c'est qu'ils vont obliger tout le monde à regarder de près les études ayant permis de mettre ce poison que sont les OGM sur le marché. Au bénéfice de qui ? D'une minuscule minorité de spéculateurs, d'affairistes, que je considère être à la limite du cannibalisme.

Votre film propose des alternatives au nucléaire en s'appuyant principalement sur l'exemple japonais. Mais pour envisager une autre solution, il faut beaucoup de temps…

Sûrement pas. Il convient surtout de dire non tout de suite. J'ai filmé une des plus importantes manifestations du peuple demandant l'arrêt du nucléaire, à Tokyo. Les choses n'ont pas tardé, puisque aujourd'hui il ne reste au Japon que deux réacteurs en fonctionnement, et encore pour satisfaire un contrat de fourniture d'électricité au Vietnam.

La solution, les gens l'ont trouvée naturellement : ils consomment moins d'électricité, l'éclairage public a été réduit, la climatisation également. Et, l'hiver, les habitants mettent des pulls et portent des chaussettes ! Ce qui est préférable aux risques engendrés par le « monstre ». Ce terme, c'est celui qu'emploie le président des paysans de Fukushima, qui ne cesse de répéter que « l'homme a inventé un monstre » : « Le monstre s'est mis en colère, et l'homme ne sait pas arrêter la colère du monstre. »

Dois-je vous rappeler qu'aujourd'hui encore Fukushima n'est pas à l'abri d'une explosion majeure, dont les conséquences seraient 100 fois supérieures à Tchernobyl ?

Recueilli par Patrick Guilloton

-> Jean-Paul Jaud participera à la projection, suivie d'un débat, le 31 octobre à Saint-Georges-de-Didonne, le 12 novembre à Ruffec, le 13 à Barbezieux, le 9 décembre à Biarritz, le 10 à Dax et le 11 à Pau.


Pourquoi s'installent-ils ici?

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Saint-Georges-de-Didonne

Sur le thème de "l'attractivité du littoral atlantique et ses enjeux" consacré plus particulièrement au cas de la Charente-Maritime, l'association "Imaginons demain" propose une conférence animée par Didier Vye, maître de conférence à l'université de La Rochelle le mardi 30 octobre à 18 h au relais de la Côte de Beauté.
Différents aspects seront abordés, tels que "la ruée vers l'ouest", "les nouveaux arrivants, qui sont-ils et pourquoi s'installent-ils sur les côtes charentaises?", "quels enjeux pour les communes littorales et touristiques", " les choix économiques", etc.
Pratique : Conférence publique, participation 3€ , pour toute information : imaginonsdemain@orange.fr

Le niveau du lac d'Enlias est au plus bas

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PA255970.JPGCuriosité pour les Saint-Georgeais, le lac d'Enlias est à son plus bas niveau, une baisse de plus de 1,50 m qui fait apparaître les fonds sur tout le pourtour. Depuis lundi dernier 22 octobre, le lac a fait l'objet d'une vidange partielle pour permettre le changement d'une vanne qui a eu lieu jeudi 25 octobre. Ce travail terminé, le lac se remplira ensuite progressivement avec les pluies pour retrouver son niveau habituel. Photo droits reserves

Sommes-nous tous des cobayes ?

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Saint-Georges-de-Didonne : Ce soir, mercredi, le cinéaste présente son nouveau film "Tous cobayes?" au cinéma du Relais de la Côte de Beauté.

Pour Jean-Paul Jaud, le danger est dans notre assiette… Mais pas seulement

Jean-Paul Jaud avec Paul Ghézi, responsable de l'association Créa.

Jean-Paul Jaud avec Paul Ghézi, président de l'association Créa. (photo Denise Roz)

Enfant du pays, le réalisateur Jean-Paul Jaud vient à la rencontre du public royannais pour présenter son dernier film « Tous cobayes ? », ce mercredi, au cinéma du Relais de la Côte-de-Beauté. Avant cette soirée exceptionnelle au cours de laquelle le cinéaste répondra aux questions du public, nous l'avons joint par téléphone.

« Sud Ouest ». Votre nouveau film « Tous cobayes ? » est un document choc qui dénonce les OGM et le nucléaire. Vous semblez très pessimiste sur l'avenir de l'humanité.

Jean-Paul Jaud. Pas du tout, au contraire, si j'étais pessimiste, je n'aurais pas fait ce film. C'est un état des lieux qui démontre la dangerosité de ces technologies dont on peut se passer. Il est encore temps de réagir. Nous ne sommes pas encore au seuil de l'irréversibilité, heureusement.

Pensez-vous que sur la terre entière, nos assiettes comme notre environnement soient contaminés ?

L'homme est capable d'absorber un certain niveau de pollution. Même si la terre et les hommes sont largement contaminés, il est encore temps de se désintoxiquer. On peut développer une agriculture respectueuse de l'environnement, utiliser des énergies renouvelables et propres, le soleil, le vent, l'eau… Une étude récente a montré que nous jetons 30 à 40 % des aliments que nous consommons. Nous pouvons manger autrement, des aliments sans OGM et sans pesticides, et prendre conscience que nos réserves ne sont pas inépuisables.

Le professeur Séralini, dont vous avez suivi les travaux pour votre film, a dû faire face à certains lobbies, en particulier pro-OGM. Avez-vous subi des pressions pendant votre tournage ?

Absolument pas car notre travail était secret. Lorsque Gilles-Eric Séralini m'a fait part de ses expériences en juillet 2009, il m'a demandé de garder le secret jusqu'à la parution publique de ses conclusions. Les pressions arrivent maintenant par de « pseudo-scientifiques ou académiques » aux ordres des multinationales.

Pensez-vous que ce film puisse être pédagogique ? Qu'attendez-vous de ces rencontres avec le public ?

Mon film fait un constat dur mais il est aussi fait pour réveiller les consciences. Il rappelle qu'en Charente-Maritime, à Saujon, un agriculteur est décédé à cause des pesticides, que des dockers en contact avec les pesticides souffrent de la même pathologie, qu'au Japon, des agriculteurs se suicident. La catastrophe de Fukushima a amené les Japonais à changer complètement leur mode de vie…

Le film montre que la pollution développe des maladies graves, il apporte aussi des alternatives positives comme le développement d'une agriculture raisonnée et l'investissement dans d'autres sources d'énergie que le nucléaire, c'est un défi pour la vie future de l'humanité.

Recueilli par Denise Roz

Pratique : « Tous Cobayes ? » mercredi 31 octobre à 20h30 salle de cinéma du relais de la Côte de Beauté. Le film sera suivi d’un débat en présence du réalisateur Jean-Paul Jaud et de Dominique Marion de la Fédération Nationale des Agriculteurs Bio (FNAB) – tarifs : 7,50€, adhérent Créa 5,50€, apprenti, étudiant, demandeur d’emploi : 6,50€. Renseignements Créa 05 46 06 87 98, site : www.crea-sgd.org

 

Le Salon de l'Invention transforme l'essai

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DSC_4384_2715.JPGLe président Gilles Suraud a remis le prix des professionnels à Gilles Kalfon - photo DR

Les prévisions les plus optimistes ont été largement dépassées et c'est un pari gagné pour la toute jeune association Meschers Événements, qui a organisé le week-end dernier le premier Salon de l'invention et de l'innovation Imagine. Plus de 2 200 visiteurs ont, pendant deux jours, plébiscité la manifestation. Sur une idée qui avait germé depuis longtemps dans son esprit, Jean-François Négret, le maire, a convaincu sans peine Gilles Suraud, président de Meschers Événements, de l'excellence du projet.

Une trentaine d'exposants de tout poil sont venus montrer une diversité d'inventions étonnantes. Le Smartphone qui traduit les menus en langues étrangères, la couette à compartiments, le porte-skis à main, l'antidérapant universel, le béton isolant avec des aiguilles de pin incorporées, le porte cubi de rosé automatique, le sac-poubelle qui contient un répulsif contre chiens, chats, guêpes, les véhicules électriques, etc.

Remise des prix

Le prix des professionnels (1) a été décerné à Gilles Kalfon pour son invention « Clip drink ». Une récompense confirmée par le public qui lui a délivré le prix d'honneur. Le prix du public a été attribué à Jocelyne Lenoir pour la couette à compartiments. Le bilan est très positif pour les organisateurs, qui sont rassurés après ce premier succès. Les encouragements des élus de tous bords et l'accueil du public confirment qu'Imagine sera dans les prochaines années, chaque début novembre, l'événement incontournable qui retentira bien au-delà des frontières du Pays royannais.

Denise Roz

(1) Le jury de professionnels était composé de Gilles Suraud, président de Meschers Événements ; Jacky Laureyns, ingénieur au CNRS ; Claude Cardot, ingénieur ; Yves Sterviniou, directeur de Super U ; Tuula Bonnefond, styliste ; Aquinov, cabinet de dépôt de brevets.

50 ans au service de la musique

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GREZAC

Marcel Jeaud et Catherine Erb, les deux décorés du jour en présence de Bernard Pourpoint, maire de Grézac et Daniel Hillairet, conseiller général du canton de Cozes.

Marcel Jeaud et Catherine Erb, les deux décorés du jour en présence de Bernard Pourpoint, maire de Grézac et Daniel Hillairet, conseiller général du canton de Cozes. (Photo Jean-Marc Carment)

Une centaine de personnes assistaient à la cérémonie de commémoration de l'Armistice du 11 novembre 1918, en présence de Daniel Hillairet, conseiller général du canton de Cozes. La matinée ensoleillée a sans doute contribué à la réussite de cette manifestation. Dès la fin de la cérémonie, le maire Bernard Pourpoint a invité les personnes présentes à se rendre à la salle des fêtes pour assister à deux remises de décoration.

La médaille de la fidélité musicale a été décernée à Catherine Erb par Daniel Hillairet, pour ses trente-huit années passées à œuvrer comme tambour au sein de la batterie-fanfare de Cozes dont vingt-quatre ans en tant que trésorière de cette association.

Marcel Jeaud, le président de la batterie-fanfare de Cozes, a été quant à lui décoré par Bernard Pourpoint, de la croix de l'Union des fanfares de France. Cette décoration est venue récompenser cinquante années de bons et loyaux services comme musicien, clairon et cors de chasse dans la batterie-fanfare de Cozes. Le maire, dans son allocution, a rappelé que Marcel Jeaud était né à Grézac, au village des Alluchons, le 11 avril 1943. C'est la raison pour laquelle il a tenu à recevoir cette distinction à Grézac. Bernard Pourpoint a loué le mérite de cet homme qui s'est impliqué dans de nombreuses associations telles la société de chasse de Grézac, la Fête des battages de Cozes, le groupe folklorique de Semussac, le Moto-Club de Grézac, Grézac Animations dont il est toujours membre à ce jour. « Sa plus grande tâche aura probablement été la batterie-fanfare de Cozes dont il est président depuis vingt-quatre ans », a rappelé l'élu.

Marcel Jeaud, visiblement très ému, a tenu à saluer le travail de sa fille Catherine au sein de cette association musicale. Enfin, il a souligné qu'il aurait souhaité arrêter cette année mais, après que Catherine ne le persuade de rester encore un peu, il a décidé de poursuivre.

Jean-Marc Carment

Portes ouvertes à distance

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COZES - SEMUSSAC

De gauche à droite, Jean-Marie Ledent, Philippe Bordage et son épouse lors des journées portes ouvertes.

De gauche à droite, Jean-Marie Ledent, Philippe Bordage et son épouse lors des journées portes ouvertes. (Photo Jean-Marc Carment)

Philippe Bordage et son épouse tiennent le magasin Tapissier Décorateur au 27, Grande-Rue à Cozes. Jean-Marie Ledent, quant à lui, est menuisier dans la zone d'activité de Semussac.

Ces deux commerçants sont amis dans la vie. Il n'est pas rare que l'un suggère à ses clients les services de l'autre et vice versa.

Ils ont décidé ensemble de proposer au public des journées portes ouvertes communes pendant trois jours, du 2 au 4 novembre.

Tout au long de ce week-end, de nombreux visiteurs ont ainsi pu se rendre dans ces établissements qui étaient ouverts de 10 heures à 18 heures. Philippe Bordage et son épouse ont eu l'occasion de faire découvrir toute l'étendue du métier de tapissier et des œuvres d'art réalisées par un véritable professionnel. Le métier de tapissier ne s'arrête pas uniquement à la réfection des sièges, fauteuils ou canapés, il comprend aussi la création de ces meubles, la confection des rideaux, doubles-rideaux, les teintures murales, les plafonds tendus ou encore la literie…

De son côté, Jean-Marie Ledent est menuisier dans la zone d'activité de Semussac depuis 2007. Il fabrique des escaliers, des portes et fenêtres et tout ce qui se rapporte à l'agencement en ameublement (dressing, meubles…). En plus de présenter son métier de menuisier à ses nombreux visiteurs, il a aussi fait découvrir son hall d'exposition.

Cette association de deux entreprises pour une action commune, (journées portes ouvertes, publicité et communication) implantées dans des villes différentes, démontre une volonté originale de développement du commerce.

Jean-Marc Carment

Un lâcher de pigeons pour l'Armistice

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IMG_1273.JPGLa cérémonie de commémoration de l'armistice de 1918 s'est achevée, dimanche, par un lâcher de pigeons voyageurs, qui a été effectué par le Club colombophile Royan - Saint-Georges. Une tradition ancienne que Michel Dupuis, président de l'Association saint-georgeaise des anciens combattants et victimes de guerre, avait souhaité remettre à l'honneur.

La veille, les membres de l'association s'étaient comme chaque année retrouvés autour d'un repas amical à La Forêt à Meschers. Réunion conviviale qui n'a pour objectif que d'entretenir l'esprit d'union et de camaraderie entre les combattants des diverses générations, en dehors de toute considération politique ou confessionnelle.

(1) Le club colombophile Royan-Saint-Georges élève des pigeons voyageurs dans le but de participer à des compétitions sportives (entre avril et juillet) qui entraînent les oiseaux sur des parcours pouvant aller de 100 à 900 kilomètres. Par le passé et jusqu'à la fin de la première guerre mondiale, les pigeons étaient spécialement sélectionnée pour effectuer des voyages afin de transmettre des messages. Leurs déplacements constituaient un vecteur de communication courant et considéré comme très fiable. Actuellement, il ne reste plus qu'un seul colombier militaire en France et en cas de catastrophe majeure, ils pourraient, semble-t-il, redevenir un moyen essentiel de communication.

Denise Roz


Les oiseaux de l'estuaire

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DSC03370.JPGLa Ligue de Protection des Oiseaux (LP017) propose une conférence-diaporama sur les oiseaux hivernants de l’estuaire de la Gironde. L’occasion de découvrir les différentes espèces qui fréquentent l’estuaire de la Gironde pendant la période hivernale et les milieux dans lesquels ils vivent (vasières, prés salés, marais, bois, espaces agricoles, etc.).

Cette animation est proposée dans le cadre du projet Atlas régional, mené depuis décembre 2010 jusqu’à janvier 2013 et coordonné par Poitou Charentes Nature avec le soutien de la Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL), du Conseil Régional de Poitou-Charentes et de l’nion Européenne.

Pratique :Conférence-diaporama le vendredi 16 novembre à 18h30 au Parc de l'estuaire 47avenue Paul-Roullet à Saint-Georges-de-Didonne. Gratuit - tel. 05 46 23 77 77, site : www.leparcdelestuaire.com/blog.

Le front de mer rouvrira pour Noël

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La météo favorable et la bonne organisation du chantier ont permis de gagner du temps sur le planning.

La météo favorable et la bonne organisation du chantier ont permis de gagner du temps sur le planning. (Photo dr)

Excellente nouvelle pour les Saint-Georgeais, le trafic sur le front de mer sera rétabli pendant les fêtes de fin d'année. Même si les trottoirs ne sont pas complètement terminés, la circulation sera ouverte dans les deux sens sur la voie côté terre et sur les deux giratoires nouvellement créés.

« Les travaux progressent très bien et ils ont même pris de l'avance sur le planning établi, explique Jean-Pierre Bonnaud, élu en charge des travaux, qui indique que cette rapide évolution va permettre de prolonger la zone initialement prévue sur une longueur d'environ 100 mètres, jusqu'au Café des Bains et non plus l'allée du Rang-des-Adrets-Musso ».

Après les fêtes, la circulation reprendra pour quelque temps son cours de déviations actuelles pour que l'aménagement puisse continuer et que l'espace soit opérationnel en avril. Pendant la poursuite des travaux, le tapis de plage sera prolongé depuis le poste de secours jusqu'en face du Relais.

Dans le même temps, les bétons lavés seront réalisés en janvier pour que les commerces du front de mer puissent ouvrir pour les vacances scolaires de février. Pendant la durée de ces travaux, l'accès à la plage sera bloqué entre le Café des Bains et la rue Béteille, le parcours sera fléché. Mais les commerces ouverts à l'année resteront bien sûr accessibles.

Eaux de pluie

« Les travaux s'organisent d'abord sur le côté mer, explique Jean-Pierre Bonnaud, de manière à aménager la noue centrale et le drainage des eaux de pluie ». Ainsi, elles ne s'écouleront plus sur la plage, ce qui devrait considérablement améliorer la qualité des eaux de baignade, un point essentiel pour la reconduction du « pavillon bleu » de la station.

L'achèvement des gradins et du belvédère, situés dans la zone du Relais, est prévu pour fin février et les plantations, jardinières… seront en place en début de printemps. De même, dès que le Conseil général aura libéré l'espace, les services de la Ville entameront aussitôt les travaux d'aménagement d'une nouvelle esplanade devant le Relais, de ravalement du bâtiment et des commerces attenants, offrant ainsi pour les vacances de Pâques un nouvel espace attractif d'animation et de déambulation.

Denise Roz

Les médecins se posent à La Raboine

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DSC03420.JPGLe Docteur Stéphane Jean a rappelé les différentes étapes du projet

Situé au rond-point des Parasols, à l'entrée de la zone artisanale et commerciale de la Raboine, le nouveau centre médical Atlantis a été inauguré samedi dernier par Dominique Bussereau, député de Charente-Maritime, président du Conseil général et par Françoise Brouard, maire de la commune.

En présence de nombreux élus, d'invités et du corps médical, le docteur Stéphane Jean a rappelé les phases clés d'un projet élaboré dès 2007, alors que la zone était encore déserte.

Des spécialistes

« C'est Jean-Michel Renu qui m'a convaincu de l'intérêt de la zone de La Raboine, espace économique essentiel au développement de la commune […]. Après l'achat de ce terrain, j'ai été rejoint dans ce projet par mes collègues cardiologues, les docteurs Jean-Patrick Penot et Renaud Fressonnet, puis durant la construction par Nicolas Lejeune. Faisant fi des remarques perfides de certains, d'autres associés bâtisseurs sont venus se joindre à nous, une équipe qui s'est renforcée par l'arrivée de nouveaux spécialistes sur le site (1). C'est Guillaume Vidal, architecte qui a alors pris les commandes "du navire" pour canaliser nos envies de médecins et réaliser cet immeuble Atlantis reconnu par tous pour son élégance et ses fonctionnalités. »

Stéphane Jean a tenu à rendre hommage au financier et à l'ensemble des entreprises locales qui, a-t-il rappelé, « ont largement contribué à la réussite de ce projet ».

Le médecin a également remercié le maire, le Conseil municipal et les services de la commune « qui se sont largement mobilisés et qui travaillent à l'embellissement des alentours de l'immeuble, porte d'entrée de la ville ».

Françoise Brouard et Dominique Bussereau ont à leur tour souligné l'intérêt pour la commune d'un pôle médical qui regroupe sur le site différents spécialistes, complétant par ailleurs l'ensemble du maillage des professionnels et des établissements de santé du Pays royannais (2).

Denise Roz 

(1) Les docteurs Xavier Jost (gastro-entérologie), Michel Simounet (chirurgie maxillo-faciale), Christine Saudreau-Furgier (neurologie), Régis Patureau (opthtalmologie), Philippe Mestanier (chiropractie), Florentin Mitran (dermatologie), Hélène Jarny (diététique) et Thomas Moulin (osthéopatie).

(2) Centre hospitalier, clinique Pasteur, polyclinique de Saint-Georges.

Quatre mains dans un monde de verre

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DSC03407.JPGMarc Heingle s'apprête à scier une pièce de verre. (Photo Denise Roz)

On ne connaît pas ou peu Marc et Véronique Heingle en Pays royannais. Pourtant, c'est ici, dans leur atelier, qu'à quatre mains, le couple travaille de concert dans un univers de créations, de couleurs et de verre.

Leur métier, « c'est avant tout une aventure humaine », leur histoire, celle d'un couple qui, au fil des années, a uni sa passion pour en faire un métier. Après une formation à l'École nationale des arts décoratifs, Véronique a ouvert son atelier à Royan.

Son mari Marc la rejoint au sein de l'entreprise et développe de nouvelles techniques - fusing (1), travail au chalumeau, etc. - qui le feront reconnaître maître artisan d'art, même si, avec modestie, il ne veut se définir que simple artisan passionné par son métier.

Une balade lumineuse

C'est dans le petit atelier accolé à leur maison à Saint-Georges-de-Didonne que Marc et Véronique Heingle imaginent leurs créations, mettent en scène les couleurs que le verre en fusion transformera en œuvre d'art.

Verre uni, chamarré, de couleur neutre ou vive, c'est une balade lumineuse, colorée et magique qu'ils proposent au visiteur. Bijoux originaux, plats, objets ou tableaux décoratifs seront présentés dans leur atelier-boutique, situé près du marché du Parc, à Royan, où le public peut assister à la fabrication de certaines pièces.

Unique en Pays royannais, le travail de Véronique et Marc Heingle, artisans d'art verrier, est reconnu dans le monde. Chaque année, ils exposent dans des salons internationaux où la clientèle française ou étrangère apprécie leurs créations originales qui s'en iront alors très loin, aux États-Unis, en Asie… ou ailleurs.

Denise Roz

(1) Le fusionnage, ou fusing, consiste à assembler des morceaux de verre superposés dont l'ensemble est porté dans un four, à son point de fusion pour former une seule pièce homogène. La difficulté dans cette technique est de maîtriser la cuisson des pièces pour éviter l'apparition des tensions dans la matière. Pour cela, il faut tenir compte de la nature des verres que l'on fusionne.

La distribution des Restos du coeur commence

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SAINT-GEORGES-DE-DIDONNE : Les Restos partent en campagne

DSC03440.JPGLes bénévoles des restos débutent la campagne d'hiver - photo Denise Roz

Alors que l’hiver pointe son nez, c’est dans des locaux entièrement rénovés par les services municipaux que les bénévoles des Restos du Cœur s’apprêtent à entamer leur prochaine campagne d’aide alimentaire dans la commune saint-georgeaise.

« Peinture, plomberie, électricité,… tout a été refait, grâce aux élus et aux services techniques de la ville, qui n’ont pas ménagés leurs efforts, le centre saint-georgeais présente maintenant un cadre agréable et accueillant » souligne Yves, un des animateurs du site entouré d’une dizaine de bénévoles qui s’affairent pour être prêts dès ce vendredi 30 novembre à accueillir les familles déjà inscrites.

La période d’inscription est achevée mais le Centre recevra néanmoins d’éventuelles demandes chaque mercredi entre 9 h 30 et 10 h 30 et les distributions auront lieu chaque vendredi entre 9 h et 12 h

Comme tous ceux qui partout en France sont impliqué dans l’œuvre humanitaire créée par Coluche, les bénévoles des Restos du Cœur saint-georgeais, sont attentifs aux besoins des plus démunis. Pendant cette nouvelle campagne, la 28ème !, une de plus, ils seront encore présents sur le terrain pour apporter aide et réconfort aux familles en difficulté,  et pour cela « on peut compter sur eux ! »

Denise Roz

Pratique : Les Restos du Cœur 1 rue Plaisance 17110 Saint-Georges-de-Didonne, tel. 05 46 05 09 74 – distribution le vendredi de 9 h à 12 h à partir du 30 novembre 2012.

 

Tout le monde sur le pont pour le Téléthon

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Saint-Georges-de-Didonne : TELETHON 2012

DSC03468.JPGUne vingtaine d'associations se sont réunies pour préparer le Téléthon - photo D. Roz

Pour apporter leur contribution à l’Association Française contre les Myopathies (AFM) qui lutte contre les maladies neuromusculaires, les associations saint-georgeaises, les équipes de la ville et du service des sports ont concocté un programme varié d’activités qui se dérouleront un peu partout dans la commune vendredi 7 et samedi 8 décembre.

Vendredi 7 décembre, au Relais de la Côte de beauté de 14 à 18 h (salle Dune) démonstration de réseau ferroviaire et divers ateliers de modélisme. A partir de 20 h à l’espace Colette-Besson, bal country (entrée 5€).

Samedi 8 décembre

  • au Complexe Colette Besson : Portes uvertes au Tennis 10h - 16h, tennis non-stop de 13h à 16h + pesée du jambon, à 10h départ d’une course d’orientation à travers la commune. Découverte Zumba et maquillage pour les enfants à 15 h.
  • Au billard, jeux d’adresse de 14 à 18h.
  • Au Relais de la Côte de beauté « Puces et délices » (brocante et vente de pâtisseries de 10h à 18h), en salle de réunion, jeux en bois pour les enfants et pour adultes : palets, quilles, sjoelbak (jeu traditionnel des Pays-Bas), baby-foot., modélisme dans la salle Dune.
  • Sur la place de Didonne vente de gâteaux et pesage de la bourriche d’huîtres.
  • Place de l’église, rendez-vous à 9h pour un défi marche non-stop de 6h avec relais sur un circuit balisé de 2,5 kilomètres à travers la commune. Dégustation de vin chaud et toast (9h/15h).
  • Chiner et déguster quelques gâteaux à la Boutique Le Boubou dans la rue du marché (10h/18h).
  • A midi toujours sur la place de l'église, découverte de la danse country et de la Zumba.
  • A l’Espace Michelet, tournois de cartes et jeux de société de 14 h à 18h.
  • A l’espace nautique, à partir de 14 h marche nautique et atelier de création de cerfs-volants, baptêmes de char à voile,…jusqu’à 17 h.
  • Au boulodrome d’Enlias, tournoi de doublettes formées (formule 4) à partir de 14h.
  • Moment musical à 18 h à l'église, La-Mi-Voix en concert agrémenté de solistes et d’un orgue de Barbarie.

A partir de 19 h 30, Repas du Téléthon (1) à l’Espace Colette-Besson. En première partie « Chantons » avec Alain Alban, Marine Troussicot et Laura Godeau, en seconde partie de soirée « Dansons » avec le groupe « Les Lézards »

(1) Repas du Téléthon 15€ par adulte, 7€ par enfant – de 13 ans. Inscription et règlement auprès du service des Sports et de la Vie Associative avant le mercredi 5 décembre

Sommes-nous tous des cobayes ?

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Saint-Georges-de-Didonne : Ce soir, mercredi, le cinéaste présente son nouveau film "Tous cobayes?" au cinéma du Relais de la Côte de Beauté.

Pour Jean-Paul Jaud, le danger est dans notre assiette… Mais pas seulement

Jean-Paul Jaud avec Paul Ghézi, responsable de l'association Créa.

Jean-Paul Jaud avec Paul Ghézi, président de l'association Créa. (photo Denise Roz)

Enfant du pays, le réalisateur Jean-Paul Jaud vient à la rencontre du public royannais pour présenter son dernier film « Tous cobayes ? », ce mercredi, au cinéma du Relais de la Côte-de-Beauté. Avant cette soirée exceptionnelle au cours de laquelle le cinéaste répondra aux questions du public, nous l'avons joint par téléphone.

« Sud Ouest ». Votre nouveau film « Tous cobayes ? » est un document choc qui dénonce les OGM et le nucléaire. Vous semblez très pessimiste sur l'avenir de l'humanité.

Jean-Paul Jaud. Pas du tout, au contraire, si j'étais pessimiste, je n'aurais pas fait ce film. C'est un état des lieux qui démontre la dangerosité de ces technologies dont on peut se passer. Il est encore temps de réagir. Nous ne sommes pas encore au seuil de l'irréversibilité, heureusement.

Pensez-vous que sur la terre entière, nos assiettes comme notre environnement soient contaminés ?

L'homme est capable d'absorber un certain niveau de pollution. Même si la terre et les hommes sont largement contaminés, il est encore temps de se désintoxiquer. On peut développer une agriculture respectueuse de l'environnement, utiliser des énergies renouvelables et propres, le soleil, le vent, l'eau… Une étude récente a montré que nous jetons 30 à 40 % des aliments que nous consommons. Nous pouvons manger autrement, des aliments sans OGM et sans pesticides, et prendre conscience que nos réserves ne sont pas inépuisables.

Le professeur Séralini, dont vous avez suivi les travaux pour votre film, a dû faire face à certains lobbies, en particulier pro-OGM. Avez-vous subi des pressions pendant votre tournage ?

Absolument pas car notre travail était secret. Lorsque Gilles-Eric Séralini m'a fait part de ses expériences en juillet 2009, il m'a demandé de garder le secret jusqu'à la parution publique de ses conclusions. Les pressions arrivent maintenant par de « pseudo-scientifiques ou académiques » aux ordres des multinationales.

Pensez-vous que ce film puisse être pédagogique ? Qu'attendez-vous de ces rencontres avec le public ?

Mon film fait un constat dur mais il est aussi fait pour réveiller les consciences. Il rappelle qu'en Charente-Maritime, à Saujon, un agriculteur est décédé à cause des pesticides, que des dockers en contact avec les pesticides souffrent de la même pathologie, qu'au Japon, des agriculteurs se suicident. La catastrophe de Fukushima a amené les Japonais à changer complètement leur mode de vie…

Le film montre que la pollution développe des maladies graves, il apporte aussi des alternatives positives comme le développement d'une agriculture raisonnée et l'investissement dans d'autres sources d'énergie que le nucléaire, c'est un défi pour la vie future de l'humanité.

Recueilli par Denise Roz

Pratique : « Tous Cobayes ? » mercredi 31 octobre à 20h30 salle de cinéma du relais de la Côte de Beauté. Le film sera suivi d’un débat en présence du réalisateur Jean-Paul Jaud et de Dominique Marion de la Fédération Nationale des Agriculteurs Bio (FNAB) – tarifs : 7,50€, adhérent Créa 5,50€, apprenti, étudiant, demandeur d’emploi : 6,50€. Renseignements Créa 05 46 06 87 98, site : www.crea-sgd.org

 


La 28e campagne des Restos a débuté

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Saint-Georges-de-Didonne

DSC03433.JPGLes bénévoles se chargent de la distribution chaque vendredi (matin. )- photo Denise ROZ

Doit-on s'en réjouir ou s'en alarmer ? La nouvelle campagne des Restos du cœur vient de débuter. « Aujourd'hui, on n'a plus le droit d'avoir faim, ni d'avoir froid… », depuis vingt-huit ans, chaque année, à l'approche de l'hiver, on entend ce refrain et les bénévoles sont à pied d'œuvre pour permettre aux plus démunis d'avoir « à manger et à boire », comme le chantait Coluche lors de la première campagne. Il ne se doutait sans doute pas que, des années plus tard, la précarité serait de plus en plus importante et que les associations constateraient, au fil du temps, des inscriptions de plus en plus en nombreuses.

Initiatives

Dans la commune saint-georgeaise, des initiatives viennent renforcer l'action des bénévoles des Restos. Prochainement, les jeunes footballeurs de la commune ont décidé d'organiser une opération Plateaux de Noël et de donner des jouets à l'association. Un geste généreux pour permettre à des familles défavorisées d'offrir pour Noël des cadeaux à leurs enfants.

Quant aux distributions d'aide alimentaire, elles ont lieu chaque vendredi entre 9 heures et 12 heures et d'éventuelles demandes peuvent encore être reçues le mercredi matin entre 9 h 30 et 10 h 30.

Pratique : Restos du cœur, 1, rue Plaisance à Saint-Georges-de-Didonne, tél. 05 46 05 09 74.

Samedi : Apportez votre plantoir

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Meschers sur Gironde

1.jpgLes chasseurs participent aussi à la protection de l'environnement. photo dr

Les chasseurs de l'association de chasse (ACCA) de Meschers ont commencé en novembre 2011 un projet environnemental avec la plantation d'une jachère fleurie, d'arbres et de haies.

Ils ont décidé de poursuivre cette opération et invitent tous les volontaires à venir les aider à planter 325 végétaux, composés de fruitiers et de feuillus destinés à abriter et nourrir les oiseaux.

Le rendez-vous est fixé à samedi, à partir de 9 heures, sur le site de la jachère fleurie, route de Semussac. Et si possible, « apportez votre plantoir » !

Aux arbres de la liberté

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ROYAN

DSC03650.JPGChaque année, le Club Soroptimist de Royan choisit d’offrir et de planter un arbre dans l’une des écoles de Royan pour commémorer le 10 décembre 1948. C’est un platane qui a été choisi cette année et qui lundi après-midi a été installé dans la cour de l’école primaire Marne-Yeuse, en présence des enfants, de la directrice et des enseignants de l’école, de Didier Quentin, député-maire et d’élus.

Marie-Danielle Bencherab, présidente du club royannais a rappelé que la Déclaration Universelle des Droits de L’Homme a été adoptée le 10 décembre 1948 et que cette date est célébrée dans le monde entier. Pour le « Soroptimist International Union Française », cette journée, dénommée « SI DAY », est l’occasion de renouveler, en tant qu’Organisation Non Gouvernementale (ONG) son engagement pour la défense des libertés et de droits fondamentaux auxquels toutes les femmes et les enfants, partout dans le monde, peuvent prétendre sans aucune distinction. Cet anniversaire rend également hommage à Suzanne Noël, la fondatrice du Soroptimisme français.

DSC03664.JPGLes volontaires ne manquent pas pour planter le platane

Le discours de Marie-Danielle Bencherab, ancienne enseignante, s’est adressé aux enfants pour qu’ils aient conscience de l’importance de ce geste écologique et citoyen que le club Soroptimist local tient à renouveler chaque année. « Vous le connaissez tous ce grand arbre que l’on rencontre au long des routes,… nous souhaitons tous qu’il s’épanouisse rapidement dans la cour de l’école et qu’il puisse très vite abriter oiseaux et écureuils nombreux dans le quartier. ». Après lecture d’un texte du poète Jean-Luc Moreau, les enfants enthousiastes ont participé avec les agents de la ville à la plantation du platane.

Denise Roz

Les animations de Noël

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imagesCANFW022.jpgSaint-Georges-de-Didonne

Les animations de Noël se dérouleront du jeudi 20 au lundi 31 décembre et le Père Noël sera présent du samedi 22 jusqu’au lundi 24.

Au programme :

  • Jeudi 20à 18h Chants de Noël dans l’église avec la chorale La Mi-Voix.
  • Samedi 22à 14h lâcher de ballons par l’Union des Commerçants, à 15 h arrivée du Père Noël, 15h30-17h spectacle de jonglerie en musique.
  • Dimanche 23 de 9h30 à 13h place de la Résistance par l’association Didonne-Boubes, en présence du Père Noël.
  • Du vendredi 21 au lundi 24, de 10h à 13h et de 14h30 à 18h : Vente de gâteaux de Noël, pain d'épice, vin chaud et jambon fumé de la Forêt Noire, par le Comité de Jumelage, place de l'église.
  • Dimanche 23 et lundi 24 de 11h à 12h30 et de 14h30 à 17h maquillage pour les enfants.
  • Lundi 24 de de 11h à 12h30 et de 14h30 à 17h orgue de barbarie par « Les filles de Barbarie ».
  • Du samedi 23 au lundi 31décembre de 10h-13h et 14h30-17h balades en calèche dans le centre-ville offertes par l’Union des Commerçants.

Plus d’informations au Service des Sports et de la Vie associative. Tél. : 05 46 05 58 05 sports@sgdd.fr

 

Partenaires pour la solidarité

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DSC03730.JPGAux côtés de Virginie Bertin, chef d'agence, Jordan Fauconnet, Anaïs Brouillet, Jean-Claude Jérôme et Valérie Dutreuil - Photo Denise Roz

Une petite cérémonie sympathique s’est déroulée samedi matin dans les locaux de l’agence du Crédit Mutuel. Au nom des administrateurs et de la caisse locale, Jean-Claude Jérôme et Valérie Dutreuil, ont remis un chèque de 400 € à Anaïs Brouillet et Jordan Fauconnet, le jeune équipage qui s’est participera du 14 au 24 février au raid humanitaire du 4L Trophy 2013. Une aide appréciable qui contribue à compléter celle de nombreux partenaires du pays royannais, qui ont décidé de soutenir financièrement ou matériellement le projet des deux jeunes étudiants fortement investis dans ce projet basé sur la solidarité et la générosité.

Le véhicule de l’équipage est actuellement en préparation. Révision mécanique, peinture, aménagements divers, … sont indispensables avant d’entamer un périple de 6000 kilomètres qui emmènera fournitures scolaires, sportives, médicales, etc… pour des enfants de villages du sud marocain.

Denise Roz

(1) Cafétéria Leclerc, Moteurs Foucart, Duprat Traiteur, Ent. Métalic, Super U, Bowling Meschers, Cheminées Diet, Coiffure Marina, 2RS/DRS, Casse-auto Chevalier, La Civette, Carrosserie Lebeau, Ent. Hyodall, Couleur Marché, Boutique Sasham, Gifi, Ent. Sarget, SME, Audigié Espace Auto, SO.DIS.ROY, Beaupré, Ambulances Fauconnet, Grifo Vacances Andorre, etc.....et les nombreux amis qui s'associent à ce projet humanitaire.

1 € = 1 km "Aidez-nous à avancer" - Pour apporter votre contribution financière ou matérielle à l'action d'Anaïs et Jordan, contact au 06 33 24 47 21

 

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